synchronime
Pour le prédateur Wolfen, le synchronïme était une ombre aux contours indistincts qui apparaissait et disparaissait en un battement de cils. Il semblait être partout et nulle part à la fois. Pour le synchronïme, le prédateur était un pantin aux mouvements saccadés. Il faisait couler le temps autour de lui de manière inégale. Le synchronïme n’était pas plus rapide : une seconde pour le Wolfen correspondait simplement à cinq des siennes.
Posted: 29 Apr 2008